Michel Foucault frasi celebri
da Michel Foucault, un'intervista: il sesso, il potere e la politica dell'identità, in Archivio Foucault. Interventi, colloqui, interviste, a cura di Alessandro Pandolfi, traduzione di Sabina Loriga, Feltrinelli, Milano, 1996, vol. III
da Malattia mentale e psicologia, traduzione di F. Polidori, Cortina Raffaello, 1997
Frasi sulla pazzia di Michel Foucault
“Dall'uomo al vero uomo, la strada passa per l'uomo pazzo.”
da Storia della follia nell'età classica
Variante: Dall'uomo all'uomo vero, il cammino passa attraverso l'uomo folle.
“Non esiste una sola cultura al mondo in cui sia permesso di fare tutto.”
appendice La follia, l'assenza di opera, p. 478
Storia della follia nell'età classica
Origine: Storia della follia nell'età classica, p. 607
Michel Foucault Frasi e Citazioni
pag. 58
Storia della follia nell'età classica
da Due risposte sull'epistemologia, traduzione di A. Fontana, Lampugni Nigri, Milano, 1971
“La libertà di coscienza comporta più rischi dell'autorità e del dispotismo.”
2012
Storia della follia nell'età classica
da Perché studiare il potere: la questione del soggetto, traduzione di Roberto Cagliero, revisione di Marcella Pogatschnig, in Poteri e strategie, a cura di P. Dalla Vigna, Mimesis Edizioni, 1994
da Potere-corpo, in Microfisica del potere: interventi politici, a cura di Alessandro Fontana, Pasquale Pasquino, traduzione di Giovanna Procacci, Einaudi, 1982<sup>4</sup>
da La volontà di sapere, traduzione di Pasquale Pasquino e Giovanna Procacci, Feltrinelli, 1978, pp. 116-7
da Sorvegliare e punire; citato in la Repubblica, 8 febbraio 2008
da «Io sono un artificiere», giugno 1975, in Conversazioni. Interviste di Roger-Pol Droit, a cura di Fabio Polidori, Mimesis Edizioni, 2007
pag. 53
Storia della follia nell'età classica
pag. 84
Storia della follia nell'età classica
da Tecnologie del sé. Un seminario con Michel Foucault, a cura di Luther H. Martin, Huck Gutman, Patrick H. Hutton, traduzione di Saverio Marchignoli, Boringhieri, Torino, 1992, p. 23
The Lives of Michel Foucault: a Biography, di David Macey, Vintage Editions 1995
Michel Foucault: Frasi in inglese
Origine: "The Subject and Power" (1982), p. 782
Origine: "The Subject and Power" (1982), p. 781
Par pouvoir… je n’entends pas un système général de domination exercée par un élément ou un groupe sur un autre, et dont les effets, par dérivations successives, traversaient le corps social tout entier… il me semble qu’il faut comprendre d’abord la multiplicité de rapports de force qui sont immanents au domaine où ils s’exercent, et sont constitutifs de leur organisation ; le jeu qui par voie de luttes et d’affrontements incessants les transforme, les renforce, les inverse ; les appuis que ces rapports de force trouvent les uns dans les autres, de manière à former chaîne ou système, ou, au contraire, les décalages, les contradictions qui les isolent les uns des autres ; les stratégies enfin dans lesquelles ils prennent effet, et dont le dessin général ou la cristallisation institutionnelle prennent corps dans les appareils étatiques, dans la formulation de la loi, dans les hégémonies sociales. La condition de possibilité du pouvoir… il ne fait pas la chercher dans l’existence première d’un point central, dans un foyer unique de souveraineté d’où rayonneraient des formes dérivées et descendantes ; induisent sans cesse, par leur inégalité, des états de pouvoir, mais toujours locaux et instables. Omniprésence du pouvoir : non point parce qu’il aurait le privilège de tout regrouper sous son invincible unité, mais parce qu’il se produit à chaque instant, en tout point, ou plutôt dans toute relation d’un point à un autre. Le pouvoir est partout ; ce n’est pas qu’il englobe tout, c’est qu’il vient de partout.
Vol. I, p. 121-122.
History of Sexuality (1976–1984)
Preface to 1961 edition
History of Madness (1961)
Il me semble que la tache politique actuelle dans une société comme la notre c’est de critiquer le jeu des institutions apparemment les plus neutres et les plus indépendantes, de les critiquer et les attaquer de telle manière que la violence politique qui s’exerçait obscurément en elles (les institutions) surgissent et qu’on puisse lutter contre elles.
Debate with Noam Chomsky, École Supérieure de Technologie à Eindhoven, November 1971
Je crois que le pouvoir politique s’exerce encore, s’exerce en outre, de plus, par l’intermédiaire d’un certain nombre d’institutions qui ont l’air comme ça de n’avoir rien de commun avec le pouvoir politique, qui ont l’air d’en être indépendantes et qui ne le sont pas.
Debate with Noam Chomsky, École Supérieure de Technologie à Eindhoven, November 1971